5. Quant à l'avis donné par le Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique en date du 2 mars 2004 son évocation par le Gouvernement est pour le moins cocasse. En effet semble oublier que le CSPLA, organe consultatif quasi exclusivement de représentants des ayants droit - musique, cinéma, logiciels, bases de données, artistes-interprètes, « majors du disque »... - et que les SPRD en forment la majorité ! Ainsi, cet avis émanant des bénéficiaires de la mesure critiquée validerait constitutionnellement une atteinte à la vie privée et aux libertés individuelles... Ce n'est pas sérieux |