02 Avril 2006

Écoutez Le Collimateur d'Alexandre Jubelin!

Il nous parle en détails de choses militaires et géopolitiques.

Très accessible au grand public.

(pub gratuite)

De: Jérôme Antonini
directeur du secteur sanitaire de la Fédération des établissements hospitaliers et d'assistance privés à but non lucratif
Objet:
membres suppléants du conseil d'administration de l'Agence de la biomédecine
Au titre des trois représentants des établissements de santé proposés respectivement par la Fédération hospitalière de France
par la Fédération de l'hospitalisation privée et la Fédération des établissements hospitaliers et d'assistance privés à but non lucratif
Remplace:M. Laurent Castra
Groupe:
suppleant
conseil_administration
nomination
02 Avril 200602/04/2006
De: Géraldine Janody
Docteure
médecin inspectrice de santé publique à la direction régionale des affaires sanitaires et sociales de la région Rhône-Alpes
Objet:
membres suppléants du conseil d'administration de l'Agence de la biomédecine
Au titre du médecin inspecteur de santé publique
Remplace:Mme Dominique Lingk
Groupe:
suppleant
conseil_administration
nomination
02 Avril 200602/04/2006
De: Yves Chep
premier conseiller de chambre régionale des comptes
Objet:
auprès du service central de prévention de la corruption
administrateur civil
conseiller
Groupe:
date_debut="2005-10-01"
duree="un an"
détachement
02 Avril 200602/04/2006
De: Thierry Pitois-Etienne
magistrat, chef du bureau de l'aide juridictionnelle
Objet:
au nom du garde des sceaux, ministre de la justice
dans la limite de ses attributions, tous actes, arrêtés et décisions, à l'exclusion des décrets
autorite_delegation="Garde des sceaux, ministre de la justice"
délégation de signature
02 Avril 200602/04/2006
De: Nathalie Riomet
magistrate, chef du bureau de l'accès au droit et de la politique de la ville
Objet:
au nom du garde des sceaux, ministre de la justice
dans la limite de ses attributions, tous actes, arrêtés et décisions, à l'exclusion des décrets
autorite_delegation="Garde des sceaux, ministre de la justice"
délégation de signature
02 Avril 200602/04/2006
De: Paule Damilleville
administratrice civile, chargée de mission budgétaire
Objet:
au nom du garde des sceaux, ministre de la justice
dans la limite de ses attributions, tous actes, arrêtés et décisions, à l'exclusion des décrets
autorite_delegation="Garde des sceaux, ministre de la justice"
délégation de signature
02 Avril 200602/04/2006
De: Annie Basset
magistrate, chef du bureau de l'aide aux victimes et de la politique associative
Objet:
au nom du garde des sceaux, ministre de la justice
dans la limite de ses attributions, tous actes, arrêtés et décisions, à l'exclusion des décrets
autorite_delegation="Garde des sceaux, ministre de la justice"
délégation de signature
02 Avril 200602/04/2006
De: Anne Balance
attachée principale d'administration centrale
Objet:
au nom du garde des sceaux, ministre de la justice, les bons de commande ainsi que les ordres de mission et états de frais établis à l'occasion des déplacements effectués par des agents du service de l'accès au droit et à la justice et de la politique de la ville ou par des intervenants extérieurs lors de réunions auxquelles ils sont conviés
au titre des attributions du service
autorite_delegation="Garde des sceaux, ministre de la justice"
délégation de signature
02 Avril 200602/04/2006
De: Laurent Cormier
directeur de l'audiovisuel
Objet:
tous actes, décisions de dépenses entrant dans le cadre de ses attributions, dès lors que leur montant est inférieur ou égal à 200 000 euros ; à l'exception des marchés publics, de toutes décisions prises contre l'avis d'une commission et des actes relatifs aux contentieux dans lesquels le Centre national de la cinématographie est partie prenante
délégation de signature
02 Avril 200602/04/2006
De: Audrey Azoulay
directrice adjointe de l'audiovisuel
Objet:
tous actes, décisions de dépenses entrant dans le cadre de ses attributions dans les mêmes conditions que le délégataire susmentionné. »
délégation de signature
02 Avril 200602/04/2006
De: Zuchowicz (Xavier)
Général de corps d'armée de
Objet:
président du conseil d'administration du musée de l'armée
Groupe:
president
conseil_administration
nomination
02 Avril 200602/04/2006
De: Francis Kramarz
Objet:
par scrutin public, l'applicabilité de l'article 44, alinéa 2, aux sous-amendements. Au surplus, ces sous-amendements reprenaient des amendements qui avaient été précédemment écartés et qui ne présentaient pas de lien avec le texte de l'amendement sur lequel ils entendaient se greffer. Deux d'entre eux reprenaient des amendements qui avaient été écartés par application de l'article 40 de la Constitution et les autres dépassaient le cadre du sous-amendement dans la mesure où ils ne s'appliquaient pas au texte de l'amendement n° 63 qu'ils prétendaient compléter
A supposer que le Conseil constitutionnel estime que certains de ces derniers amendements aient été écartés sans justification appropriée, le Gouvernement considère que cette circonstance ne présenterait pas le caractère d'une irrégularité substantielle susceptible d'entacher de nullité l'ensemble de la procédure législative, eu égard au contenu de ces amendements et aux conditions générales du débat parlementaire, au cours duquel le droit d'amendement des sénateurs a pu être largement exercé. Le Conseil constitutionnel a déjà mis en oeuvre un tel raisonnement (voir la décision n° 93-329 DC du 13 janvier 1994), qui apparaîtrait au Gouvernement tout à fait transposable au cas d'espèce
Pour ces différentes raisons, le Gouvernement estime que le Conseil constitutionnel devra écarter les différents griefs mettant en cause la procédure législative qui sont articulés par les saisines
2. Sur le fond, et avant de répondre précisément à l'argumentation des recours, il convient de rappeler l'objet et la portée du contrat dit « première embauche »
a) Le Gouvernement, en présentant l'amendement qui est devenu l'article 8 de la loi déférée, et le législateur, en adoptant cette disposition, ont entendu mettre en place un dispositif nouveau afin de réduire les difficultés d'insertion professionnelle constatées chez les jeunes et la grande précarité de leur situation
On doit remarquer, au surplus, que l'insertion professionnelle des jeunes est particulièrement chaotique et qu'elle est marquée par une grande précarité. Aujourd'hui, près des deux tiers des jeunes entrent dans l'emploi par la voie d'un contrat à durée déterminée ou d'un contrat aidé ou par l'intérim. La moitié des sorties de jeunes pour fin de contrat à durée déterminée s'effectue moins d'un mois après l'embauche et les périodes d'intérim durent en moyenne quinze jours. Pour les jeunes de 16 à 25 ans, le contrat à durée indéterminée ne représente que 56 % des emplois privés, contre plus de 90 % pour les salariés plus âgés. Ce n'est que vers l'âge de 30-35 ans que la proportion atteint le niveau moyen de 90 %
Les études du CEREQ confirment que la mobilité en début de carrière est très élevée. L'ouvrage intitulé « Quand l'école est finie... Premier pas dans la vie active de la génération 2001 », publié au deuxième trimestre 2005, montre, en termes de flux d'entrées, que le premier emploi des jeunes ne prend la forme d'un contrat à durée indéterminée que dans 36 % des cas, et même seulement environ 30 % des cas si l'on ne prend en compte que le secteur privé stricto sensu. Au fil de leur parcours, les jeunes se stabilisent progressivement dans l'emploi et obtiennent un contrat à durée indéterminée après des premières périodes d'emploi passées en contrats à durée déterminée ou en intérim, souvent entrecoupées d'épisodes de chômage. Pour sa part, la DARES a étudié l'ensemble de la population des 16-25 ans, non pas en flux d'entrées mais en stock : dans « Premières informations et Premières Synthèses » (n° 14.2) publiée en avril 2005, elle estime que 46 % des jeunes de 25 ans et moins sont dans un statut d'emploi temporaire, en contrat à durée déterminée ou en intérim ; elle précise également que cette proportion n'est que de 5,7 % pour les 40-49 ans et de 3,8 % pour les 50-64 ans. Dans cette même publication, il apparaît qu'à caractéristiques équivalentes de diplôme, de secteur d'activité, de durée du travail, un jeune a 7 fois plus de probabilités d'être sur un statut précaire qu'un salarié âgé de 30 à 49 ans
Dans leur rapport de décembre 2004 exploitant des données d'EUROSTAT
Groupe:
ecole="École est finie... Premier pas dans la vie active de la génération 2001 », publié au deuxième trimestre 2005, montre, en termes de flux d'entrées, que le premier emploi des jeunes ne prend la forme d'un contrat à durée indéterminée que dans 36 % des cas, et même seulement environ 30 % des cas si l'on ne prend en compte que le secteur privé stricto sensu. Au fil de leur parcours, les jeunes se stabilisent progressivement dans l'emploi et obtiennent un contrat à durée indéterminée après des premières périodes d'emploi passées en contrats à durée déterminée ou en intérim, souvent entrecoupées d'épisodes de chômage. Pour sa part, la DARES a étudié l'ensemble de la population des 16-25 ans, non pas en flux d'entrées mais en stock : dans « Premières informations et Premières Synthèses »"
admission
02 Avril 200602/04/2006
De: Pierre Cahuc
expliquent qu'il faut attendre l'âge de 33 ans pour que le taux de contrats à durée indéterminée par âge soit égal à la moyenne de l'ensemble des salariés, c'est-à-dire 90 %. L'âge moyen de fin d'étude étant de 22 ans, il faut donc aux jeunes une dizaine d'années pour atteindre la stabilité dans l'emploi que connaissent les autres salariés
Objet:
par scrutin public, l'applicabilité de l'article 44, alinéa 2, aux sous-amendements. Au surplus, ces sous-amendements reprenaient des amendements qui avaient été précédemment écartés et qui ne présentaient pas de lien avec le texte de l'amendement sur lequel ils entendaient se greffer. Deux d'entre eux reprenaient des amendements qui avaient été écartés par application de l'article 40 de la Constitution et les autres dépassaient le cadre du sous-amendement dans la mesure où ils ne s'appliquaient pas au texte de l'amendement n° 63 qu'ils prétendaient compléter
A supposer que le Conseil constitutionnel estime que certains de ces derniers amendements aient été écartés sans justification appropriée, le Gouvernement considère que cette circonstance ne présenterait pas le caractère d'une irrégularité substantielle susceptible d'entacher de nullité l'ensemble de la procédure législative, eu égard au contenu de ces amendements et aux conditions générales du débat parlementaire, au cours duquel le droit d'amendement des sénateurs a pu être largement exercé. Le Conseil constitutionnel a déjà mis en oeuvre un tel raisonnement (voir la décision n° 93-329 DC du 13 janvier 1994), qui apparaîtrait au Gouvernement tout à fait transposable au cas d'espèce
Pour ces différentes raisons, le Gouvernement estime que le Conseil constitutionnel devra écarter les différents griefs mettant en cause la procédure législative qui sont articulés par les saisines
2. Sur le fond, et avant de répondre précisément à l'argumentation des recours, il convient de rappeler l'objet et la portée du contrat dit « première embauche »
a) Le Gouvernement, en présentant l'amendement qui est devenu l'article 8 de la loi déférée, et le législateur, en adoptant cette disposition, ont entendu mettre en place un dispositif nouveau afin de réduire les difficultés d'insertion professionnelle constatées chez les jeunes et la grande précarité de leur situation
On doit remarquer, au surplus, que l'insertion professionnelle des jeunes est particulièrement chaotique et qu'elle est marquée par une grande précarité. Aujourd'hui, près des deux tiers des jeunes entrent dans l'emploi par la voie d'un contrat à durée déterminée ou d'un contrat aidé ou par l'intérim. La moitié des sorties de jeunes pour fin de contrat à durée déterminée s'effectue moins d'un mois après l'embauche et les périodes d'intérim durent en moyenne quinze jours. Pour les jeunes de 16 à 25 ans, le contrat à durée indéterminée ne représente que 56 % des emplois privés, contre plus de 90 % pour les salariés plus âgés. Ce n'est que vers l'âge de 30-35 ans que la proportion atteint le niveau moyen de 90 %
Les études du CEREQ confirment que la mobilité en début de carrière est très élevée. L'ouvrage intitulé « Quand l'école est finie... Premier pas dans la vie active de la génération 2001 », publié au deuxième trimestre 2005, montre, en termes de flux d'entrées, que le premier emploi des jeunes ne prend la forme d'un contrat à durée indéterminée que dans 36 % des cas, et même seulement environ 30 % des cas si l'on ne prend en compte que le secteur privé stricto sensu. Au fil de leur parcours, les jeunes se stabilisent progressivement dans l'emploi et obtiennent un contrat à durée indéterminée après des premières périodes d'emploi passées en contrats à durée déterminée ou en intérim, souvent entrecoupées d'épisodes de chômage. Pour sa part, la DARES a étudié l'ensemble de la population des 16-25 ans, non pas en flux d'entrées mais en stock : dans « Premières informations et Premières Synthèses » (n° 14.2) publiée en avril 2005, elle estime que 46 % des jeunes de 25 ans et moins sont dans un statut d'emploi temporaire, en contrat à durée déterminée ou en intérim ; elle précise également que cette proportion n'est que de 5,7 % pour les 40-49 ans et de 3,8 % pour les 50-64 ans. Dans cette même publication, il apparaît qu'à caractéristiques équivalentes de diplôme, de secteur d'activité, de durée du travail, un jeune a 7 fois plus de probabilités d'être sur un statut précaire qu'un salarié âgé de 30 à 49 ans
Dans leur rapport de décembre 2004 exploitant des données d'EUROSTAT
Groupe:
ecole="École est finie... Premier pas dans la vie active de la génération 2001 », publié au deuxième trimestre 2005, montre, en termes de flux d'entrées, que le premier emploi des jeunes ne prend la forme d'un contrat à durée indéterminée que dans 36 % des cas, et même seulement environ 30 % des cas si l'on ne prend en compte que le secteur privé stricto sensu. Au fil de leur parcours, les jeunes se stabilisent progressivement dans l'emploi et obtiennent un contrat à durée indéterminée après des premières périodes d'emploi passées en contrats à durée déterminée ou en intérim, souvent entrecoupées d'épisodes de chômage. Pour sa part, la DARES a étudié l'ensemble de la population des 16-25 ans, non pas en flux d'entrées mais en stock : dans « Premières informations et Premières Synthèses »"
admission
02 Avril 200602/04/2006

J'ai transpiré des centaines d'heures pour cette base, et ca continue. Vous aussi, aidez-moi à la nettoyer.